Le texte et sa reception
I. Le moment 1925.Publié de 1925 à 1927, La Medeleni paraît à une époque de l’histoire où la Roumanie connaît une renaissance historique propice au développement économique et social du pays, et donc à un renouveau littéraire comparable à celui qui a précédé l’entrée de la Roumanie dans la première guerre mondiale aux côtés de l’Entente. 1. Le renouveau national et économique.Les années de l’après-guerre sont marquées par l’unification nationale et territoriale de la Roumanie: au terme des traités, le pays a récupéré la Bessarabie, puis la Bucovine et la Transylvanie, pour former la Grande Roumanie, qui est entrée le 28 juin 1919 à la Ligue des Nations. En 1923 la Roumanie s’est dotée d’une nouvelle constitution largement démocratique, sous Ferdinand de Hohenzollern Sigmaringen, roi jusqu’à sa mort en 1927, date à laquelle un conseil de régence sera constitué autour de son petit-fils Michel. Du point de vue économique, les années 1920 sont marquées par la reconstruction du potentiel industriel de la Roumanie et par le développement d’une économie de marché, qui prospèrera jusqu’à la crise de 1929. C’est dans ce contexte de renouveau national, matériel et spirituel, et qui voit l’éclosion du génie artistique sous toutes ses formes, qu’il faut situer la genèse puis la publication d’une œuvre comme La Medeleni.
• La fin de la crise éditoriale. Ce renouveau n’est pas sans conséquences sur un changement de la situation éditoriale en Roumanie. En 1927 Ion Vinea, dans un «bilan littéraire» de l’année précédente, constate avec bonheur la fin d’une «crise de production et de lecteurs»[1], et d’une «crise éditoriale» que Lucian Blaga mentionnait dans un même bilan un an plus tôt.[2] 2. Le renouveau du roman.C’est le roman qui, en littérature, bénéficie en premier lieu du renouveau artistique, au détriment de la nouvelle. Figure de proue de ce retour en force du genre dans les lettres roumaines, Liviu Rebreanu salue avec enthousiasme à la même époque «la ruée des écrivains roumains contemporains sur le roman», qui oblige ceux-ci à un effort de composition vaste, et qui écarte du même coup un certain «dilettantisme» littéraire.[3] Dans une interview accordée à l’occasion de la sortie de Răscoala [«La Révolte»] en 1926, il constate encore: «Avant guerre paraissait un piètre roman à quelques années d’intervalle, maintenant on imprime des dizaines de romans par an, et même de bons parmi eux.»[4] a. Une production romanesque abondante.Hotarul nestatornic paraît en 1925, la même année que deux célèbres romans de Rebreanu, Adam şi Eva [«Adam et Ève»] et Ciuleandra [«La ciuleandră], et qu’Omul descompus [«L’homme décomposé»] de Felix Aderca, roman où transparaît l’obsession érotique dans une composition révolutionnant déjà le cadre du roman traditionnel. L’année 1926, qui voit la publication très remarquée de Drumuri sur un fond de scandale littéraire dû à son caractère jugé pornographique par une partie de la critique, est marquée par deux événements dans la prose: la parution du roman d’Hortensia Papadat Bengescu, Fecioarele despletite [Les jeunes filles dénattées»], et surtout l’éblouissant récit de Mateiuu Caragiale, Craii de Curtea-Veche [Les Ribauds du Vieux Castel»], dans la revue Gândirea. On note avec moins d’intérêt la sortie d’autres romans comme Diplomatul, tăbăcarul şi actriţa [«Le diplomate, le tanneur et l’actrice»] de Carol Ardeleanu, qui reprend le thème du déclassé, sous l’influence évidente de Dostoïevski, Casa cu nalbă [«La maison des mauves»] d’Eugeniu Speranţia, Sub flamura roşie [«Sous l’oriflamme rouge»] de Dem. Theodorescu ou Moş Belea [«Moş Belea»] de Gheorghe Brăescu. 1927, année où paraît Între vânturi, est beaucoup plus riche en romans de qualité et où s’affirme un art toujours mieux maîtrisé, comme Fuga lui Şefki [«La fuite de Şefki»] d’Emanoil Bucuţa – roman dont Mihail Sebastian dira qu’il passe scandaleusement inaperçu, avec Craii de Curtea-Veche de Mateiuu Caragiale, en pleine ascension de La Medeleni[5] –, Concert de muzică de Bach [«Concert de Bach»] d’Hortensia Papadat Bengescu, Cântecul lebedei [«Le chant du cygne»] de Rebreanu, Glasuri în surdină [«Voix en sourdine»] de l’humanitariste Eugen Relgis, ou encore Femeia cu carnea albă [«La femme à la chaire blanche»] de Felix Aderca. b. L’âge adulte de la prose roumaine.Ce qui appert de cette abondante production romanesque contemporaine de la trilogie La Medeleni, c’est, d’une part, et à des degrés divers, la fermeté de son accomplissement, qui, pour reprendre l’analyse d’Alexandru Lascarov-Moldovan, est le signe le plus sûr que la société de qui elle émane franchit «le seuil de sa maturité»[6], et, d’autre part et conséquemment, la prise de conscience par le roman roumain que de Rebreanu à Teodoreanu il prend désormais sa place «parmi les littératures traduisibles en toute langue européenne».[7] c. Le renouveau des thèmes romanesques.Ce qui caractérise aussi le roman roumain contemporain de La Medeleni, c’est son renouvellement dans les formes comme dans les thèmes, tant qu’on peut parler d’un nouveau roman des années 1920. D’un point de vue thématique: la guerre avec les horreurs du front et les drames de l’arrière, l’angoisse et la crise morale de l’intellectuel, la glorification nationale, la recherche érotique effrénée, l’ennui ou l’exubérance des villes. D’un point de vue formel: l’aspiration vers le roman de vastes proportions, vers le roman-fleuve dans la lignée d’À la recherche du temps perdu de Marcel Proust, dont la publication s’achève en 1927, année de parution de Între vânturi. d. L’aspiration vers le roman de grandes dimensions.La mode est en effet aux œuvres romanesques de grandes dimensions. Avant guerre, Romain Rolland a publié son Jean-Christophe, histoire d’un jeune musicien prodige et roman monumental en dix volumes (1904-1912), conçu dès le départ comme un poème musical[8] et qui connaît un grand succès en Roumanie comme ailleurs.[9] Toujours en France, Roger Martin du Gard a commencé en 1922 la publication de son vaste cycle romanesque Les Thibault, histoire d’une famille de la grande bourgeoisie parisienne du début du siècle à 1914; trois volumes ont déjà paru en France lorsque sort Hotarul nestatornic en 1925: Le Cahier gris, Le Pénitencier et La Belle Saison. D’autre part, Georges Duhamel constitue en 1926 le cycle de Salavin, qui s’achèvera en 1929 avec Le Club des Lyonnais. La publication de Drumuri en 1926 coïncide enfin avec celle du célèbre roman-fleuve de Margaret Mitchell aux États-Unis, Autant en emporte le vent, qui connaît un énorme succès de public outre-Atlantique, et qui n’est pas sans faire penser, toutes proportions gardées, à certains aspects structurels de La Medeleni. En Roumanie même, Liviu Rebreanu a publié en 1920 son célèbre Ion [«Ion»], vaste roman de dimension épique développé à partir d’une intrigue banale (un paysan pauvre, assoiffé de terre, épouse pour son bien une jeune fille aisée), mais sur un fond de fresque sociale minutieusement observée – le village transylvain – et dans une composition en plans parallèles reliés par un subtil contrepoint symphonique. Récompensé par le Prix Năsturel, ce roman exerce un phénomène d’émulation sur presque tous les prosateurs d’après-guerre: rares sont ceux qui ne donnent pas au moins un grand roman en deux volumes, comme Purgatoriul [«Le Purgatoire»] de Corneliu Moldovan en 1922, cherchant à égaler ou à surpasser Rebreanu dans l’effort de composition, d’invention et d’approfondissement psychologique des personnages. C’est comme la «première réplique au roman de Rebreanu» – pour reprendre la formule très juste de Tudor Vianu[10] – que se présente donc la trilogie de Ionel Teodoreanu.
II. La publication de La Medeleni.Les trois volumes de La Medeleni ont été publiés de la même façon: d'abord en revue pour les abonnés et les habitués, puis en volume pour le grand public. La majorité des textes ont paru dans le mensuel Viaţa Românească à Iaşi, mais Teodoreanu a publié aussi des textes dans l'hebdomadaire bucarestois Adevărul literar şi artistic[11] juste avant la sortie des volumes II et III en librairie. Outre son intérêt financier, cette façon de procéder présentait l'avantage d'être un essai auprès des lecteurs. 1. Les extraits donnés aux revues.Nous donnons plus bas, à titre indicatif, l'ensemble des extraits de La Medeleni publiés en périodiques, et qui présentent quelques variantes par rapport au texte de l'édition princeps. En examinant attentivement ces textes, on contaste que la rédaction de Viaţa Românească accorde une confiance totale au jeune romancier, puisque par six fois elle le laisse ouvrir le sommaire de la revue, et, d’autre part, puisqu’elle fait côtoyer ses œuvres avec celles d’écrivains roumains de notoriété incontestable. C’est ainsi que l’on voit des extraits de La Medeleni voisiner avec des proses de Mihail Sadoveanu (Cealaltă Ancuţa, Fericita Cecilia, Sfintele amintiri, Demonul tinereţii[12]...), Henriette Yvonne Stahl, Gala Galaction, Jean Bart, Panait Istrati, Gib Mihăescu, Lucia Mantu, Tudor Arghezi, Alexandru O. Teodoreanu enfin, frère de notre romancier, et même avec de célèbres écrivains étrangers, puisque Viaţa Românească publie, en même temps que La Medeleni, la traduction roumaine d’Oblomov de Gontcharov. • 1924 «La Medeleni», Viaţa Românească, XVI, 1924(10), pp. 5-34: Potemkin şi Kami-Mura. «La Medeleni», Viaţa Românească, XVI, 1924(11), pp. 196-217: idem. «La Medeleni», Viaţa Românească, XVI, 1924(12), pp. 358-382: Căsuţa albă şi rochiţa roşie. • 1925 «La Medeleni», Viaţa Românească, XVII, 1925(1), pp. 5-40: Herr Direktor. «La Medeleni», Viaţa Românească, XVII, 1925(2), pp. 179-200: Mediul moldovenesc. «La Medeleni», Viaţa Românească, XVII, 1925(3), pp. 333-352: idem. «La Medeleni», Viaţa Românească, XVII, 1925(4), pp. 10-30: Robinson Crusoe. «La Medeleni», Viaţa Românească, XVII, 1925(5-6), pp. 175-209: Păpuşa Monicăi, soit Păpuşa Monicăi et Moş Gheorghe, nu tragi din lulea? dans Hotarul nestatornic. «La Medeleni», Viaţa Românească, XVII, 1925(9), pp. 394-400: soit Sfârşitul unui an şcolar dans Drumuri, I, chapitre I. «La Medeleni», Viaţa Românească, XVII, 1925(10), pp. 33-67: idem, soit «Il était un petit pommier» dans Drumuri, I. «La Medeleni», Viaţa Românească, XVII, 1925(11-12), pp. 188-222: idem, soit Escapada Olguţei dans Drumuri, I.. • 1926 «La Medeleni», Viaţa Românească, XVIII, 1926(1), pp. 5-26 : idem. «Rodica», soit Drumuri, III, chapitre II, Viaţa Românească, XVIII, 1926(10), pp. 5-43. «Ioana Pallă», soit Drumuri, III, chapitre I, Viaţa Românească, XVIII, 1926(11), pp. 185-208. «Femeia roşie» extrait de Drumuri, II, chap. I, pp. 226-238 (depuis «Mircea adormise» jusqu’à «Zările se ridicară’n aur.»)[13], Adevărul literar şi artistic, VII, 1926(308), p. 1. «Printre caisele din vârfuri», extrait de Drumuri, II, chap. II, pp. 256-266 (Depuis «Caişii îl cunoşteau bine pe Puiu» jusqu’à «Şi’i trânti uşa’n nas.»)[14], Adevărul literar şi artistic, VII, 1926(310), pp. 1-2. «Monica», extrait de Drumuri, III, chap. III, pp. 684-699 (du début jusqu’à «decât să nu’i poată răspunde la nici o minge.»[15]), Adevărul literar şi artistic, VII, 1926(313), pp. 1-2. • 1927 «Între vânturi», extrait de Între vânturi, I, Viaţa Românească, XIX, 1927(8-9), pp. 5-59. «Între vânturi (Ochii verzi)[16]», extrait de Între vânturi, III, Viaţa Românească, XIX, 1927(10-12), pp. 79-116. «Procesul», extrait de Între vânturi, II, pp. 133-163 (depuis «Pledase întâiul proces» jusqu’à «efigia minciunii lor»)[17], Adevărul literar şi artistic, VIII, 1927(360), pp. 1-3. «Cheful», extrait de Între vânturi, II, pp. 179-191 (depuis «Involuntar, Dănuţ se îndreptase spre Pavilion.» jusqu’à «avea un singur cântec pentru toţi.»)[18], Adevărul literar şi artistic, VIII, 1927(367), pp. 1-2. • 1928 «Între vânturi», extrait de Între vânturi, II, pp. 179-191, Adevărul literar şi artistic, IX, 1928(377), p. 7.
2. La publication en volume.a. L’édition princeps de La Medeleni.La Medeleni a été publié pour la première fois en trois volumes de juin 1925 à décembre 1927, de la façon suivante:
Ionel Teodoreanu, La Medeleni, Hotarul nestatornic, roman, Bucarest: Cartea Românească, 1925, 382 pages. Ionel Teodoreanu, La Medeleni, vol. II, Drumuri, roman, Bucarest: Cartea Românească, 1926, 562 pages. Ionel Teodoreanu, La Medeleni, vol. III, Între vânturi, roman, Bucarest: Cartea Românească, 1927, 421 pages.
La trilogie paraît aux Éditions Cartea Românească, successeur moral des Éditions Minerva qui, au début du XXe siècle, ont été un des piliers littéraires du mouvement semănătoriste et ont joué un rôle important dans la renaissance culturelle d’avant-guerre en Roumanie, comme en France Lemerre pour le Parnasse et le Mercure de France pour le symbolisme. Cartea Românească renoue dans les années 1920 avec cette tradition assez récente, rééditant d’une part les œuvres classiques de la littérature roumaine, et, d’autre part, d’une manière quelque peu comparable à celle de la revue Adevărul literar şi artistic, la prose roumaine contemporaine de quelque tendance qu’elle émane. C’est ainsi que Cartea Românească prend l’initiative en 1925 de lancer La Medeleni de Teodoreanu, l’un de ses fleurons éditoriaux et l’un de ses plus grands succès de librairie.[19] b. La présentation matérielle de l'édition.Le premier volume de la trilogie sort en juin 1925. La parution imminente du roman est annoncée par «Nicanor & co», alias Garabet Ibrăileanu, dans la rubrique Miscelaneea du numéro double de Viaţa Românească où a été publié le dernier chapitre de Hotarul nestatornic.[20] C'est un élégant volume broché, vendu 75 lei, dans la présentation propre aux volumes publiés par «Cartea Românească»: couverture jaune, avec le titre de la trilogie en rouge et celui du volume en noir. Le second volume, Drumuri, annoncé dès octobre par la revue de Iaşi[21], paraît en décembre 1926 pour les fêtes de fin d'année[22], dans une présentation identique. C'est un volume de 562 pages, vendu 150 lei et imprimé dans un corps plus petit que le premier. En troisième de couverture, l'éditeur précise que la première édition du premier volume a été un «grand succès de librairie» et qu' «elle s'est vendue en quelques mois»; il donne du même auteur «Uliţa copilăriei – Povestiri[23]» et «La Medeleni, volume II, 2e édition, 100 lei», avec trois extraits de presse élogieux. Il est à noter que Cartea Românească s'attend au même succès pour le IIe volume de la trilogie, puisqu'il précise sur la couverture «Drumuri – IIe édition». Le troisième et dernier volume, Între vânturi, sort en décembre 1927, toujours pour les fêtes de Noël. Le livre de 421 pages, d'une présentation identique au second, est vendu 130 lei. La deuxième de couverture précise que le volume I (1925) en est déjà à sa troisième édition, et le volume II à sa deuxième. [1] Ion Vinea, «Bilanţ literar» [«Bilan littéraire»], Dimineaţa, XXII, 1927(7164), p. 18. [2] Lucian Blaga, «Literatura anului» [«La littérature de l’année»], Banatul, I, 1926(1), p. 51 (rubrique «Chroniques», signée L. B.). [3] Felix Aderca, Mărturia unei generaţii [«Le témoignage d’une génération»], Bucureşti: Editura Ciornei, 1929, p. 292. [4] I. Valerian, «De vorbă cu d-l Liviu Rebreanu» [«Entretien avec M. Liviu Rebreanu»], Viaţa literară, I, 1926(1), p. 2 (Păreri despre literatura altora, «Opinions sur la littérature des autres»). [5] Mihail Sebastian, «Cazul Ionel Teodoreanu» [«Le cas Ionel Teodoreanu»], Cuvântul, IV, 1928(1070), p. 1. [6] I. Valerian, «De vorbă cu Alexandru Lascarov-Moldovanu» [«Entretien avec...»], Viaţa literară, I, 1926(16). In Romanul românesc în interviuvuri [«Le roman roumain en interviews»], II, 1, ed. Aurel Sasu et Mariana Vartic, Bucureşti: Editura Minerva, 1986, p. 284. [7] N. Davidescu, Aspecte şi direcţii literare [«Aspects et directions littéraires»], ed. Margareta Feraru, Bucureşti: Editura Minerva, 1975, p. 433. [8] Lettre de Romain Rolland à Malwida, 10 août 1890. [9] L’œuvre de Romain Rolland est bien connue de Teodoreanu, et le nom du romancier français apparaît quatre fois dans La Medeleni. En effet, Jean-Christophe est l’une des lectures préférées de Mircea (II, p. 422); le jeune professeur écrit sur ce roman, dans Viaţa contimporană, une étude où il affirme que Jean-Christophe représente la lutte solaire de Prométhée musicien contre les momies du symbolisme (II, pp. 525-528). Enfin, le narrateur évoque le refrain lyrique de Jean-Christophe dans l’épisode de son amitié avec Otto Diener («J’ai un ami!») lorsque Dănuţ rencontre le rédacteur de Viaţa contimporană (III, p. 209). [10] Tudor Vianu, Arta prozatorilor români [«L’art des prosateurs roumains»], Bucureşti: Editura Contemporană, 1941, p. 368. [11] Respectivement: La Vie Roumaine et La Vérité littéraire et artistique. [12] L’autre Ancuţa, Cecilia la bienheureuse, Les saints souvenirs, Le démon de la jeunesse. [13] La femme en rouge, depuis «Mircea s’était endormi» jusqu’à «Les lueurs d’or se levèrent.». [14] Parmi les abricots des cimes, depuis «Les abricots connaissaient bien Puiu» jusqu’à «Et il lui claqua la porte au nez.». [15] «plutôt que de ne pouvoir répondre à aucune de ses balles.». [16] «Dans les vents» (Les yeux verts). [17] Le procès, depuis «Il avait plaidé le premier procès» jusqu’à «l’effigie de leur mensonge.». [18] Le festin, depuis «Involontairement, Dănut se dirigea vers le Pavillon.» jusqu’à «avait une seule chanson pour tous.». [19] Sur la situation éditoriale et l’histoire de Cartea Românească, voir Pentapolin, «Editurile în 1926. Cartea Românească» [«Les maisons d’édition en 1926...»], Universul literar, XLIII, 1927(2), pp. 31-32. [20] Viaţa Românească, XVII, 1925(5-6), p. 345. [21] Ibidem, n° 10, p. 5. [22] Voir Pentapolin, op. cit., p. 31. [23] La Ruelle de l’enfance – Récits. |